AGRICULTURE
NATURELLE ET VEGETALIENNE

NATURELLE ET VEGETALIENNE 

 

L’AGRICULTURE NATURELLE ET SAUVAGE a toujours été notre ligne de conduite. Notre but est de pouvoir nourrir l’ensemble de notre système avec la biomasse produite pendant toute l’année.

Il est important pour nous de ne pas épuisé le sol et le laisser vivre le plus possible sur la plus grande surface. La fertilité du sol nous donne une production organisée sur l’année avec une diversité des ressources qui peuvent être utilisées comme une valeur économique ou pour des valeurs plus humaine.

 

UNE AGRICULTURE VEGETALIENNE permet de garder un sol en harmonie et qui peut se régénérer normalement sans recevoir des apports excessifs de fumier pour pousser. Une production végétalienne demande une autre organisation de l’espace et du potentiels des volumes de productions. Il faut prendre en compte plusieurs facteurs comme une adaptation des semences maraîchères ou de la stabilité de la fertilité du sol. 

 

Cultivant plusieurs parcelles pour notre propre production alimentaire, nous transformons le surplus de nos récoltes pour la distribution directe. Nous n’importons pas de fumure animale extérieure ou autres booster pour nos parcelles agricoles.

Pesticides, insecticides ou autres produits d’origine de chimie synthétique sont bannis depuis les origines du projet. 

Nous n’utilisons pas non plus de soufre et de cuivre, ni aucune des alternatives autorisées dans les cultures biologiques, comme le recours à la confusion sexuelle des insectes dans les vergers de fruitiers ou les vignes. 

La santé de la Terre nous paraît être un tout, dont la santé de chaque partie fait l’équilibre de l’ensemble.

A nos yeux, l’exemple des réseaux invisibles de Funghi est éloquent ; leur influence est vitale à la santé de l’humus et donc de l’humain, mais fragiles et méconnus, l’humain subit son ignorance de plein fouet quand ceux-çi viennent à disparaître, provoquant érosion,éboulement et lessivage.

Notre vision agricole étant très éloignée des standards actuels productivistes, nous souhaitons développer un système économique ne sollicitant pas l’apport de paiements directs. Idem pour les subsides de compensation écologique; le cahier des charges de maintenance s’éloignant trop de nos principes écologiques.

Nous pensons que la survie de l’agriculture en suisse sera locale, à petite échelle, diversifiée, tournée vers la vente directe.

La rentabilité financière de l’agriculture suisse est maintenu artificiellement par le système des subsides. Ils permettent de continuer à produire à perte, en subissant les fluctuations des prix du marché. Il n’aide pas l’agriculture a développer l’autonomie alimentaire de notre pays en organisant une agriculture diversifiée, mais des monocultures qui alimentent la grosse distribution.

L’agriculture régénérative, les jardins forêts, le maraîchage sauvage et naturelle sont des stratégies que nous expérimentons afin d’éviter l’usage d’eau dans nos cultures.

Nos récoltes sont déterminées uniquement par les conditions climatiques et la fertilité naturelle du sol.  

UNE AGRICULTURE DOIT ETRE LIBRE, SANS LABEL, SANS SUBVENTIONS, SANS ENERGIE FOSSILE 

L’avenir de notre alimentation et de notre climat dépendent aujourd’hui de grands changements radicaux et sans attendre de l’aide. Il est du devoir de chacun de se réveiller et d’agir personnellement pour l’ensemble. 

Il faut tout simplement voir plus petit et redevenir des paysans et pas des exploitants agricoles qui exploitent sans éthique . Changer ces habitudes et apprendre à partager.